Étouffées par des éléments d’architectures minimales, ces plantes tentent de retrouver leurs étendues.

Image d’un conflit sans fin, cette végétation vient casser le rapport d’équilibre de ces formes radicales et nous rappellent combien l’impact de l’activité humaine pèse sur l’environnement.

Ces Ex-Croissance sont travaillées autour de l’architecture du lieu d’exposition, mais également de la plante qui, inconsciemment, est utilisée comme unité de mesure pour ces structures minimalistes. L’idée que le bâtiment étouffe cette plante est alors renversée puisque c’est elle qui, par sa présence, modifie l’architecture du bâtiment. C’est alors un jeu, un aller-retour sur qui domine qui ?